« Ça fait déjà de nombreuses années qu’il y a des études épidémiologiques qui ont montré que, globalement, la consommation de café est associée à une diminution du risque d’avoir la maladie de Parkinson », a commenté le professeur Louis-Éric Trudeau, du département de pharmacologie et physiologie de l’Université de Montréal.
Pour la maladie de Parkinson, de nombreuses études ont permis de montrer que le risque de développer la maladie était inférieur de 30% chez les consommateurs de café et que cette consommation prévenait la perte des cellules nerveuses dopaminergiques impliquées dans la maladie et augmentait le taux de dopamine.